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YAHVE NISSI : L’ETERNEL NOTRE BANNIERE

Nous poursuivons notre exploration des Noms d’alliance de Dieu, et nous en arrivons au troisième dans l’ordre d’apparition. Il se trouve dans un texte d’une grande intensité que je vous invite à lire dans sa totalité, il s’agit d’Ex 17.8-15 :

8 Amalek vint combattre Israël à Rephidim.

9 Alors Moïse dit à Josué : Choisis-nous des hommes, sors, et combats Amalek ; demain je me tiendrai sur le sommet de la colline, la verge de Dieu dans ma main.

10 Josué fit ce que lui avait dit Moïse, pour combattre Amalek. Et Moïse, Aaron et Hur montèrent au sommet de la colline.

11 Lorsque Moïse élevait sa main, Israël était le plus fort ; et lorsqu’il baissait sa main, Amalek était le plus fort.

12 Les mains de Moïse étant fatiguées, ils prirent une pierre qu’ils placèrent sous lui, et il s’assit dessus. Aaron et Hur soutenaient ses mains, l’un d’un côté, l’autre de l’autre ; et ses mains restèrent fermes jusqu’au coucher du soleil.

13 Et Josué vainquit Amalek et son peuple, au tranchant de l’épée.

14 L’Eternel dit à Moïse : Ecris cela dans le livre, pour que le souvenir s’en conserve, et déclare à Josué que j’effacerai la mémoire d’Amalek de dessous les cieux.

15 Moïse bâtit un autel, et lui donna pour nom : l’Eternel ma bannière.

Ce récit nous présente la première attaque à laquelle Israël dut faire face après sa sortie d’Egypte. Alors qu’il est en route vers la terre promise, les Amalécites, l’une des peuplades païennes de la région, vinrent subitement l’attaquer. Nous voyons dans ce texte, le déroulement de cet épisode haut en couleur : Moïse envoie Josué combattre Amalek sur le terrain, pendant que lui-même, ainsi qu’Aaron Hur, resteront sur le sommet de la colline, tenant levé la verge de Dieu. Israël sortit vainqueur du combat, et Moïse révéla un autre nom d’alliance de Dieu : l’Eternel ma bannière, qui se dit en hébreux YAHVE NISSI. Cet évènement est tellement important, que Dieu ordonne à Moïse de le répertorier dans le livre du souvenir. Je crois que c’est aussi pour nous que cela a été écrit, car il y plusieurs leçons capitales qui s’y dégagent pour nous, croyants du 21ème siècle :


1) Nous sommes engagés dans un combat contre un ennemi spirituel.

Comme Israël, nous sommes en route vers notre héritage céleste, et nous rencontrerons dés ici-bas une vive opposition de la part de l’ennemi juré de l’humanité : satan ! Il est « l’Amalek » qui viendra sans cesse attaquer les enfants de Dieu. La réalité de ce combat est affirmée par l’apôtre Paul dans Ep 6.12 : Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.


Notons bien que la lutte se situe sur un autre plan que celui de la chair et le sang, c'est-à-dire au niveau humain, mais contre toute une hiérarchie de forces spirituelles sataniques. Quelle que soit notre vision des choses, que nous le voulions ou non, que nous y croyons ou pas, nous sommes engagés dans un conflit qui va au-delà de la dimension uniquement charnelle. N’oublions pas que la Bible dit que le diable est contre les croyants, tel un lion affamé. L’apôtre dit en effet dans 1 P 5.8 : Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera.


C’est lui qui est à la tête d’une « organisation antagoniste » qui cherche notre perte. Il agit avec ruse, désirant nous empêcher de goûter à notre héritage spirituel, et voulant par-dessus tout, nous détourner de Dieu. Mais il ne s’agit pas de faire la chasse aux démons, en les voyant partout. Il ne s’agit pas non plus de voir dans tout ce qui peut nous arriver de douloureux, une intrusion satanique dans nos vies. Nous ne devons pas tout mettre sur le dos du diable en fuyant nos responsabilités. Certains croyants sont atteints de paranoïa spirituel : ils voient les démons partout. Quand cela arrive, c’est un signe de déséquilibre spirituel et psychologique...


Ce qui ressort de ce premier point, c’est que nous ne pouvons pas résoudre un problème là où il apparaît. Il faut l’affronter en amont, c'est-à-dire qu’il faut aller à sa source. Quand le problème se manifeste dans la dimension naturelle et visible, nous devons savoir que son origine se situe dans le domaine invisible psychique et spirituel. Par exemple, prenons le cas d’une jeune femme anorexique : Nous aurons beau tenter d’argumenter avec elle de l’importance de se nourrir pour préserver une bonne santé, et ne pas maigrir dangereusement, nous ne toucherons pas l’origine du problème qui est en réalité un refus de vivre. L’anorexie est un déséquilibre psychologique profond, qui ne se résout par à coup d’arguments d’ordre physique et esthétique. Ainsi nous avons la preuve qu’une difficulté ne se traite pas là où il fait surface, il est nécessaire d’aller jusqu’à sa source. Cela nous amène logiquement à notre deuxième point.


2. L’issue du combat est décidée dans la dimension spirituelle.

Nous voyons Josué combattre sur le champ de bataille contre Amalek, mais le dénouement de la bataille dépendait de ce que faisait Moïse sur le sommet de la colline. Tant que ses mains restaient levées, Israël était les plus fort, dès qu’elles s’abaissaient, Amalek avait le dessus. Nous ne devons pas inverser l’ordre : d’abord dans le spirituel, ensuite dans le naturel ! Avant tout dans la dimension invisible, puis dans la dimension visible. Les mains levées de Moïse sont l’image de la nature des armes que nous devons employer. Le Nouveau Testament va dans le même sens, car nous lisons dans 2 Co 10.3-4 :

3 Si nous marchons dans la chair, nous ne combattons pas selon la chair.

4 Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles ; mais elles sont puissantes, par la vertu de Dieu, pour renverser des forteresses.


L’apôtre Paul dit que quand bien même nous vivons notre vie dans le domaine naturel comme le reste du monde, nous utilisons des armes spirituelles pour combattre notre ennemi, qui est lui aussi de nature spirituelle. Nous réalisons que les obstacles que nous rencontrons, même s’ils se manifestent dans le monde visible, sont très souvent orchestrés et amplifiés par une armée invisible, par une opposition qui se situe au-delà des simples conjonctures matérielles. Pour les combattre, nous n’avons pas d’autre choix que de nous munir des armes appropriées, qui puisent leur efficacité dans la puissance de Dieu. Il parle en détails de ces armes dans Ep 6.13-18 :

13 C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.

14 Tenez donc ferme : ayez à vos reins la vérité pour ceinture ; revêtez la cuirasse de la justice ;

15 mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l’Evangile de paix ;

16 prenez par–dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin ;

17 prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu.

18 Faites en tout temps par l’Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints.


Notez qu’il s’agit des armes de Dieu, c'est-à-dire qu’elles ont été préparées par lui. Elles ne viennent pas de l’armurier d’en face, ou de l’armée française, mais de Dieu. L’apôtre Paul était en captivité, gardé par des soldats romains, lorsqu’il a écrit son épitre. Peut-être le Saint-Esprit s’est-il servi de l’armure du légionnaire pour indiquer à Paul l’équipement que doit avoir chaque chrétien ? Tout ce que nous pouvons dire, c’est que chaque pièce de cette armure semble être énumérée : la ceinture, la cuirasse, les chaussures, le bouclier, le casque, l’épée. Il s’agit sans aucun doute d’attitude spirituelle que nous devons adopter par rapport à la vie en générale. Regardons rapidement les caractéristiques de ces armes :


a. La vérité. Il ne s’agit pas uniquement de la vérité au sens évangélique du terme, c'est-à-dire de l’ensemble de message chrétien. La vérité ne peut se limiter à un corps de doctrines ! Bien sûr, la doctrine est un garde-fou contre les égarements, mais La vérité, c’est principalement l’expérience de la réalité qui ne nous emprisonne pas dans un système de pensées. Très fréquemment, nous ne voyons pas la réalité d’une situation, nous ne percevons que notre interprétation de cette réalité.


Si nous revenons à l’exemple de la jeune femme anorexique, cela nous aidera à mieux saisir ce qui vient d’être dit. Souffrant d’anorexie, cette jeune femme prétextera qu’elle est trop grosse, et doit éviter de manger comme tout le monde pour ne pas prendre plus de poids. En réalité, elle n’est pas grosse du tout, elle est même très maigre, mais elle ne voit plus la réalité, elle ne perçoit que son interprétation de la réalité qui s’avère très déformée.


Trop souvent, nous voyons les choses à la lumière de ce que nous avons été programmés à croire, et nous ne voyons plus la vérité. Si nous ne sommes pas vigilants, nous regardons le monde à travers les lunettes de notre culture, de nos croyances, mais nous n’apercevons plus la réalité. C’est pour cela qu’à l’origine de toute guerre, depuis que le monde est monde, se trouvent les religions et les idéologies. Faisons attention aux unes comme aux autres, car elles peuvent faire de nous une proie facile pour le diable. N’oublions jamais que la vérité ultime c’est Jésus, et cela comprend sa pensée et son cœur au sujet de toute situation.


b. La justice. Il ne s’agit pas de la lutte contre la culpabilité qui caractérise tous ceux qui s’enferment dans une dépendance religieuse, mais de l’innocence dont Jésus nous revêt par sa grâce. Si nous nous basons sur nos accomplissements, nous allons soit nos condamner, soit nous élever, et cela nous rend fragiles devant les attaques du diable. Nous ne sommes pas ce que nous avons fait. Nous ne sommes pas ce que nous possédons. Nous ne sommes même pas ce qui est écrit sur notre carte d’identité. Nous sommes des êtres justes, créés à l’image de Dieu, surtout lorsque nous acceptons l’amour qu’il nous a manifesté en Jésus-Christ !


Cessons également de nous comparer aux autres, à leurs accomplissements, à leurs possessions. Cette comparaison nous éloigne de notre position de juste. C’est tout le message de l’évangile : il n’y a plus de rites ou d’obligations religieuses à accomplir pour être justes, car Christ est notre justice par sa mort sur la croix et sa résurrection. Nous sommes justes aux yeux de Dieu, et nous devons prendre notre vie en charge dans l’humilité. Assurons-nous de développer une juste vision de nous-même, en n’oubliant pas qu’en Christ nous sommes innocents.


c. Le zèle. Je crois que cela parle du désir de progresser, ce qui est le contraire du statu quo ! Nous devons être animés de cette volonté de grandir, de ne pas nous enliser dans des situations problématiques. Ce zèle doit être le produit de l’évangile de paix. Cela signifie que la paix doit devenir notre motivation dans ce que nous faisons et comment nous vivons. Quand nous restons otages d’une situation qui tue notre paix, si nous en avons le pouvoir, changeons-la ! Satan s’attaque toujours à ceux qui sont à la traîne. Si nous sommes dans un état de passivité, sans objectifs, n’ayant aucune vision de notre vie, nous attireront des résultats négatifs. Nourrissons notre désir, alimentons nos aspirations de vivre plus, de voir plus, de faire plus, bref, de grandir sans cesse...


d. La foi. Il n’y a pas de mystère ici : c’est la confiance en Dieu. C’est la vision d’une issue positive à une situation donnée. Il ne s’agit pas de la foi religieuse, comme celle qui consiste à croire dans un dogme quelconque. Il s’agit plutôt de remplir notre esprit des pensées constructives par rapport à un besoin précis. En d’autres termes, il ne faut pas penser à ce que nous ne voulons pas, mais à ce que nous voulons. Quand nous connaissons l’importance qu’ont nos pensées sur notre vie tout entière, nous veillons à ce qu’elles soient constructives. Nous devons savoir que la foi consiste à penser correctement à ce que nous voulons, alors que la peur, c’est penser frénétiquement à ce que nous ne voulons pas. C’est aussi simple que cela, du moins en théorie…


e. Le salut. Dans le sens de préservation, de provision et d’accomplissement positif de notre vie. Cela consiste à ne pas se nourrir de pensées fatalistes, comme celles qui sont véhiculées par les ultra complotistes chrétiens qui ont mélangé leurs idéologies au message de l’Evangile. Trop de croyants écoutent et acceptent l’idéologie complotiste parce qu’ils ne comprennent pas l’enseignement prophétique de la Bible. Certains voient l’antichrist et la marque de la bête partout ! Ils se remplissent la tête des machinations qui visent à détruire l’humanité, parce que tel blog ou tel post Instagram en a parlé. Penser à ces choses, c’est enlever le casque du salut, et laisser satan jouer avec votre esprit. Faites attention !...


Faites attention, parce que plusieurs croyants font fausse route en publiant toutes sortes de théories conspirationnistes, qu’ils fusionnent avec certains textes prophétiques qu’ils ne comprennent pas, surtout ceux de l’Apocalypse. Non, l’antichrist n’est pas en train de prendre le contrôle de la planète en se servant de la pandémie ! Non, le vaccin n’est pas la marque de la bête ! Ces théories sont le contraire du casque du salut ! Faites attention, parce que de nombreux chrétiens sont en train d’être récupérés par les forces obscures pour devenir des émissaires de peur. La peur ne vient pas de Dieu, elle vient de satan. Si certains chrétiens véhiculent la peur, au service de qui travaillent-ils ?...


f. La parole de Dieu. Ici, il s’agit autant de la parole spontanée de Dieu, que de ce qui est consigné depuis des millénaires dans la Bible. Il existe une connaissance intuitive qui nous parvient lorsque nous pensons à un problème, et qui peut nous être transmise par une lecture, une conversation, un objet que nous voyons ou une suggestion que nous fait quelqu’un. Dieu peut parler par toutes sortes de moyens : une musique que nous écoutons, un paysage que nous admirons, une sensation que nous éprouvons, une pensée soudaine qui surgit dans notre esprit, etc. Quand il le fait, notre conscience est éveillée, nous sentons une nouvelle énergie nous pénétrer. L’important, c’est d’être ouvert, et de reconnaître qu’à cet instant précis, Dieu nous parle…


Mais il y a une pièce qui n’est pas directement nommé dans cette liste : la lance ! Souvenons-nous que la lance devait être lancé au loin. De quoi s’agit-il ici ? Je crois que la lance d’attaque se trouve dans la pratique de toutes sortes de prières et de supplications (v.18). Bien sûr, nous avons la vérité, le salut, la justice, le zèle, la foi, le salut et la parole de Dieu, mais toutes ces choses ne deviennent puissantes contre les attaques du diable, que lorsque nous nous mettons à prier ! La prière est un mouvement du cœur, aussi simple que la respiration. Prier, c’est penser vers Dieu. Prier, c’est parler à Dieu, tout naturellement.


Si nous revenons à l’épisode contre Amalek, Moïse devait garder les mains levées, ce qui correspond bien à la prière selon 2 Ti 2.8 : Je veux donc que les hommes prient en tout lieu, en élevant des mains pures, sans colère ni mauvaises pensées. C’est par la prière persévérante que nous obtenons du Seigneur la force de poursuivre sur le chemin de la foi, en remportant la victoire sur les ruses du diable. Que personne ne s’imagine être capable de vaincre l’ennemi de nos âmes sans une communion constante avec Dieu dans la prière. Moïse a prié, Paul a prié, Jésus a prié ; qui sommes-nous pour croire pouvoir y arriver sans la prière ? Apprenons à prendre du temps, afin d’avoir un moment de silence où notre cœur s’adresse à Dieu. Faisons attention à la pollution du bruit. Découvrons la beauté d’être seuls avec Dieu.


3.La victoire a déjà été remportée dans le domaine spirituel.

Il y a une autre grande vérité que transmet cet épisode de la guerre entre Israël et Amalek : Moïse sur le sommet de la colline est non seulement l’image du croyant en prière, mais c’est aussi la représentation de l’œuvre accompli par Jésus-Christ à la croix. N’oublions pas que Moïse devait tendre la verge, ou le bâton de Dieu. Ce bâton est un type de la croix de Golgotha, là où le Christ a vaincu satan. Paul dit dans Col 2.15 : il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d’elles par la croix.


Encore une fois, nous découvrons que la réalité de la victoire de Dieu contre nos ennemis spirituels, reposent sur la croix de Jésus. Il est capital que nous puissions comprendre tout ce qui s’est produit quand Jésus a livré sa vie en sacrifice. Il n’est pas mort comme une simple victime de la machination des autorités religieuse juives, mais il fit éprouver à satan et à son royaume une écrasante défaite lorsqu’il livra sa vie en sacrifice sur la croix. Mais cette victoire ne s’arrête pas à la croix, elle comprend également sa résurrection. Notons que Moïse devait s’assoir pour que ces bras puissent être maintenus levés, avec l’aide d’Aaron et Hur (v.12). Nous avons ici l’image du Christ ressuscité, et assis à la droite du Père dans les cieux, et régnant en vainqueur sur le royaume des ténèbres. He 10.12-13 déclare :

12 Lui, après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu,

13 attendant désormais que ses ennemis soient devenus son marchepied.


Jésus est désormais en position d’autorité absolue sur toutes les œuvres de l’ennemi. Il l’a déjà vaincu par sa mort et sa résurrection. Dans le domaine spirituel, la victoire a été remportée par YAHVE NISSI, qui n’est autre que notre Seigneur Jésus-Christ. C’est pour cela que Paul dit dans 2 Co 2.14 : Grâces soient rendues à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous en tout lieu l’odeur de sa connaissance !


Nous voyons que Paul éclate en actions de grâces, parce qu’il est conscient de la victoire de Christ. Il sait que c’est l’héritage du chrétien. Christ n’avait pas besoin de vaincre satan pour lui-même, c’est pour nous qu’il l’a vaincu, afin que nous soyons plus que vainqueurs. Il a triomphé de satan, afin que nous puissions avoir part à sa victoire. C’est pour cette raison que la connaissance de Dieu par le moyen de ses noms, produit chez nous un cœur d’adoration, car nous y découvrons que notre Dieu est notre victoire sur toutes les attaques de notre ennemi. S’il est un nom dont nous devons nous souvenir, c’est bien de celui-ci : YAHVE NISSI, l’Eternel notre bannière, celui qui nous accorde une pleine victoire.


A bientôt...



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